[SAMI] Aujourd’hui je vais sortir de mes habitudes. Bien qu’il s’agisse d’une chronique proposée par Annissa, j’aimerais introduire personnellement le livre du jour. Une sorte d’hommage de ma part à ces grandes figures de l’Islam.Si les compagnons, dans leur ensemble, sont le fruit direct de l’éducation prophétique (on reconnait un arbre à ses fruits), que dire alors des 4 califes qui succédèrent au prophète
? La langue est incapable de mettre des mots pour décrire la qualité et l’étendue de leur engagement.
Dignes héritiers du prophète
, ils ont permis au projet prophétique d’atteindre l’universalité qui le caractérise, ils ont porté le message d’Allah dans les horizons, par Celui qui tient mon âme dans sa main, après Allah et son messager
, si je suis musulman aujourd’hui c’est grâce à eux, ce sont nos ancêtres spirituels, nous avons le devoir d’honorer ce lien de parenté qui nous lie à eux. Une parenté qui n’est, certes, pas biologique pour beaucoup d’entre nous, mais qu’importe ! les liens de la foi sont plus forts que ceux du sang : « Seigneur Dieu, pardonne nous ainsi qu’à nos frères qui nous ont précédés dans la foi. Fais que nos cœurs n’aient jamais de haine contre les croyants ! Seigneur, Tu es toute bonté et toute compassion ». S59/V10
Avant d’appartenir à un groupe (du point de vue sociologique), je garde toujours en tête que, quelque soit celui que je choisirais, il est important de partager les mêmes valeurs parce que je vais aussi devoir les défendre.
On va devoir porter et représenter le message qu’il diffuse et qu’on le veuille ou non, ce groupe nous définira. Nous ne pouvons pas défendre une cause si nous n’y croyons pas à 100%, d’ailleurs je me dis souvent que même le 99% n’est pas suffisant quand il s’agit de porter sur ses épaules un message.
Comment défendrais-je une cause si mon cœur ne l’accepte pas dans sa totalité et si je ne suis convaincue qu’à moitié ?
Pour nous, musulmans, les valeurs que nous a enseignées le prophète
sont ancrées en nous et nous les défendons même si nous ne sommes pas toujours à la hauteur de cette noble tâche.
Nous ne sommes pas parfaits, et je vais même jusqu’à me dire qu’être imparfaits pourrait être une ambition pour nous tellement nous sommes loin de ce que nous devrions être… mais peu importe, ces valeurs sont présentes en nous et ne nous quittent pas.
Malgré nos imperfections, nous sommes au moins sûrs d’une chose, c’est que nous n’aurons jamais honte et nous n’aurons jamais à rougir de ce que le prophète
a défendu. Nous assumons pleinement ses valeurs et son message qui sont aussi les nôtres. Et franchement, peu importe que certains ne soient pas d’accord ou ne comprennent pas notre engagement, on en revient à ce choix du groupe que nous représentons et que nous assumons : celui des musulmans.
Je pense que nous sommes tous d’accord pour dire qu’il est toujours très difficile de passer après quelqu’un qui a fait un travail remarquable, inégalable, minutieux, sans équivalent et qui vous dit «aujourd’hui, c’est à ton tour, tu es la relève».
Que se passe-t-il dans la tête d’une personne qui, après avoir eu l’honneur de servir aux côtés de quelqu’un d’irréprochable, voit venir le jour où il doit reprendre le flambeau ? Combien d’entre nous seraient capables de ne pas prendre la fuite face à une telle responsabilité ?
Aboû bakr as Siddiq, ‘Omar Ibn al Khattab, ‘Othman Ibn ‘Affân et ‘Ali Ibn Abi Talib qu’Allah soit satisfait d’eux, n’ont pas pris la fuite et ont encore moins laissé leurs émotions les empêcher de mener à bien la mission qui les attendait après le départ du prophète
.
Les émotions ne nous laissent pas en paix, la peur nous paralyse, les responsabilités nous fatiguent. Mais décider un jour de s’engager pour une cause et s’y tenir jusqu’à la fin de sa vie avec toutes les difficultés et sacrifices que cela implique, ce n’est pas rien, et c’est ce que nous ont prouvé ces 4 hommes.
On a toujours tendance à dire que nous ne sommes que des humains, que nous ne sommes pas parfaits pour justifier notre laxisme, mais eux, qu’étaient-ils ? N’étaient-ils pas des Hommes ? Des humains comme nous ? Bah si, ils n’étaient que des Hommes, mais ils avaient ce que peu de personnes peuvent se vanter d’avoir : un cœur qui bat pour Dieu.
Lorsque quelque chose te prend aux tripes que ça en devient viscéral, tu n’as plus le choix, tu te donnes corps et âme et c’est grâce à cet amour qu’ils avaient en Lui et cette certitude qui les habitait, qu’en 1434 de l’hégire (2013), au fin fond d’un site sorti de nulle part, on décide de parler d’eux.
C’est parce que leurs corps et leurs âmes ne pouvaient répondre à rien d’autre qu’à leur amour pour Allah qu’ils ont réussi ce qu’ils ont accompli.
«Les quatre califes» de Hassan Amdouni va nous plonger dans la vie de ces 4 hommes. Comment étaient-ils avant, pendant et après la révélation et surtout les choix qu’ils ont du faire en appliquant les enseignements du messager
pour propager au mieux l’héritage que leur a laissé le prophète de l’Humanité.
L’auteur :
Hassan Amdouni est un enseignant et écrivain belgo-tunisien. Licencié en Droit musulman de la Faculté Zeytouna et docteur en Histoire et civilisation de l’université de la Sorbonne. Le professeur Hassan Amdouni est spécialiste en droit musulman et dans la science de la Méthodologie du Droit, il est connu par les cercles d’études et formations qu’il a dirigés en Europe ainsi que pour ses nombreux livres.
Le livre : Les quatre califes
PREMIÈRE PARTIE : Aboû Bakr as-Siddiq : Le véridique, le défenseur de l’Assise de l’Etat
Le prophète
disait de lui «S’il m’avait été permis d’avoir pour ami intime quelqu’un d’autre que Dieu, cela aurait été Abu Bakr. Seulement, il est mon frère et mon compagnon» (rapporté par al boukhâri)
Aboû Bakr appartenait à la tribu des Qouraych, il eut 6 enfants de 4 épouses différentes.
Ibn’Sa’d rapporte qu’Aboû Bakr avait le teint clair, qu’il était maigre, qu’il n’avait pas de larges épaules et que ses cheveux étaient abondants.
Sa naissance, ses origines ainsi que d’autres détails le concernant physiquement seront vus en sous-parties.
Il fut le premier homme à suivre le prophète
. On retiendra d’ailleurs ce hadith que j’aime beaucoup et que je trouve particulièrement émouvant et qui dit «Quand j’ai invité les gens à embrasser l’islam, tous ont pris un temps de réflexion et d’hésitation, excepté Aboû Bakr, il ne s’est pas retenu et n’a pas hésité ». Ce hadith prouve le lien particulier qui existait entre lui et le prophète
.
Cette première moitié de chapitre concernera la vie d’Aboû Bakr avant et après sa conversion aux côtés du prophète
, nous verrons l’engagement dont il a fait preuve au service de l’Islam, lui qui accompagna le prophète
de façon omniprésente. Il fut une figure emblématique.
La seconde moitié concernera son rôle en tant que premier calife et comment il continua à œuvrer après le départ du prophète
. Voici quelques évènements importants qui eurent lieu durant son califat :
– Les expéditions
– Les guerres contre les apostats
– Les conséquences des guerres d’apostasie
– Les foutouhât ( action que menèrent les Musulmans pour propager le message de l’Islam.)
– L’ouverture de l’Irak
– L’ouverture du proche Orient.
Les paroles et le comportement pieux d’Aboû Bakr nous seront rapportés dans des sous-parties ainsi que les exemples de jugements qu’il prononça et ses sermons.
Son califat dura deux ans trois mois et huit jours et les causes de sa mort nous seront expliqués.
Je finirais ce résumé concernant la première partie dédiée au premier calife par quelques paroles de sagesse de sa part :
«Si quelque bien t’échappe,cherche à le rattraper,et si le bien te rejoint,alors cherche à le surpasser»
«Dieu voit ton intérieur, de la même manière qu’Il perçoit ce qui est apparent en toi»
DEUXIÈME PARTIE : ‘Omar Ibn al-Khattâb : Le bâtisseur de l’Etat et de ses institutions
‘ Omar Ibn al- Khattâb marqua l’histoire sur plusieurs points mais celui qui met tout le monde d’accord reste son charisme et sa personnalité hors du commun.
Le prophète
dit de lui «Je n’ai jamais vu un génie qui puisse l’égaler» ( rapporté par al Boukhârî et Mouslim)
‘Omar faisait partie des familles les plus illustres du clan des Banoû ‘ Adi. C’était un homme auto-suffisant qui excellait par sa fierté. Il inspirait la crainte et le respect. Il savait lire et écrire ce qui était quelque chose de peu commun à l’époque.
Nous apprendrons à connaître ‘Omar Ibn Al-Khattab à travers ce début de chapitre. De sa naissance à ses origines jusqu’à ses traits physiques et les femmes qu’il épousa, rien ne nous sera omis.
Je me souviens de ce passage que j’ai lu pour la première fois il y’a quelques années qui me marqua qui dit que ‘Omar divorça de Jamîla ( l’une de ses épouses ) car il en était très amoureux et lorsqu’il fut désigné calife,il eut peur que sa passion envers elle ne le poussât à satisfaire ses demandes sans discrimination. Ce genre de décisions montre déjà à qui nous avons à faire.
La conversion de ‘Omar qui nous sera racontée fut un évènement important dans l’histoire de l’Islam.
Son dévouement et son action au service de la foi seront pleinement développés ainsi que les grands moments passés aux côtés du prophète
.
Le prophète
a dit de ‘Omar «De toute ma communauté, c’est ‘Omar qui est le plus ferme pour ce qui est de respecter les ordres de Dieu».
Aboû Bakr a dit : «Il n’y a pas sur la surface de la terre, un homme qui me soit plus cher que ‘Omar»
La direction de l’Etat sous le califat de ‘Omar dura dix ans et six mois. Plusieurs actions ressortent de son califat comme par exemple :
– L’organisation de l’armée. Il a le mérite d’avoir organisé l’armée musulmane et d’en avoir fait une armée régulière.
– L’organisation administrative des provinces musulmanes
– L’organisation de l’administration et des services de l’État
– La politique socio-économique.
Je n’ai bien évidemment pas tout cité.
Quelques paroles de sagesse de ‘Omar :
«Celui qui agit avec bienfaisance envers quelqu’un de fautif est un prince.»
«Celui d’entre vous que je préfère c’est celui qui m’informe de mes défauts»
‘Omar fut le premier à avoir daté l’histoire musulmane à partir de évènement de l’Hégire, il a été le premier à former un corps de magistrats indépendants. Il est aussi important de noter qu’il a aboli l’esclavagisme dans toute l’Arabie.
Tout ceci n’est qu’une petite partie de ce que ce grand homme a accompli, celui dont le prophète
disait «Je vous assure que je vois les diables, qu’ils soient de l’espèce des djinns ou de l’espèce humaine, prendre la fuite devant ‘Omar» ( Rapporté par at-Tirmidhî)
TROISIÈME PARTIE : ‘ Othmân Ibn ‘Affân : L’homme aux deux lumières
«’Othman est celui de mes compagnons dont le comportement ressemble le plus au mien» ( rapporté par Ibn ‘Asâkir )
Cette troisième partie commencera comme pour les deux califes précédents en abordant la naissance de ‘Othmân ainsi que ses origines.
‘Othman a un ancêtre commun avec le messager de Dieu
. Sa grand mère était une des tantes du prophète
.
Il est pour les musulmans celui qui épousa deux filles d’un prophète, ce qui est une chose qui n’arriva jamais. Il s’agit de Rouqayya et Oumm Koulthoûm, deux parmi les filles du prophète
.
A quoi pouvait ressembler physiquement ‘Othman ? Il était décrit comme un bel homme de taille moyenne. Il avait la peau lisse et blanche et ses cheveux étaient bruns.
Il faisait partie des premiers à se convertir et c’est peu de temps après que le messager
lui accorda la main de sa fille Rouqayya.
‘Othman était très présent du vivant du prophète
, il était très proche de lui et s’engagea auprès de lui à chaque fois que l’occasion de le faire se présenta. Son action au service de l’islam nous sera détaillée et mettra en avant sa générosité et les dépenses dont il fut l’auteur pour la cause de Dieu.
Le prophète
dit de lui «’ Othman est l’être le plus pudique de ma communauté et le plus généreux d’entre eux»
‘Ali Ibn Abî Tâlib a dit «’Othman était, de nous tous, celui qui maintenait le plus ses liens de parenté, et il était celui qui craignait Dieu le plus»
On parle aussi de ce personnage important en mettant en avant sa science, sa piété et sa sagesse.
Nous verrons par la suite toute son œuvre et les premières décisions qui furent prises et la façon dont son ascension eut lieu.
– Il mena une action de propagation du message
– Assemblage du Coran
– Foutouhat dans l’empire persan
– Foutouhat en territoire Byzantin
– Prise de l’île de Chypre et naissance de la marine musulmane
– Agrandissement de la mosquée Sainte et de la mosquée du prophète
.
Il avait une grande expérience dans le domaine politique de par son premier enseignement avec le prophète
mais aussi grâce aux deux califes précédents avec qui il était resté proche.
La fin de cette partie traitera de la naissance de la crise qui eut lieu durant son califat. Ce conflit amena à son assassinat alors qu’il était âgé de 82 ans.
QUATRIÈME PARTIE : ‘Ali Ibn Abî Tâlib : Le combattant, l’éloquent
«Celui qui nuit à ‘Alî, c’est à moi qu’il nuit» (rapporté par Abou Ya’lâ et al Bazzâr)
‘Ali Ibn Abî Talib était le cousin germain du prophète
. En plus d’être son cousin, il était son gendre à travers Fâtima, sa fille.
Les traits physiques dont nous parle l’auteur montrent un ‘Ali de taille moyenne aux cheveux bruns, avec de grands yeux sur lesquels il mettait du kouhl.
Nous en apprendrons plus sur ses épouses et sa descendance, en particulier les deux enfants qu’il eut avec Fâtima fille du prophète
: Al-Hassan et Al-Houssayn.
‘Ali n’avait que neuf ou dix ans lorsqu’il embrassa l’Islam. Nous verrons comment s’est passée son émigration ainsi que le fameux passage où il prit la place du prophète
dans son lit pour leurrer les Qouraychites qui voulaient le tuer.
Son action au service de l’Islam ne manquera pas d’être mentionnée ainsi que les nombreuses batailles où il était présent, ses mérites et sa bravoure.
Le prophète
dit de lui «Celui qui insulte ‘ Ali m’a, en vérité, insulté» (Rapporté par Al Hakîm et Ahmad)
Abou Sa’îd al Khoudrî a dit «Nous avions coutume d’identifier les hypocrites à leur haine envers ‘Ali»
La plus grande partie de ce chapitre traitera de son élection et des circonstances dans lesquelles elle eut lieu, sans oublier les conflits qui éclatèrent durant le califat de ‘Othman et les répercussions qu’ils auront sur le sien.
Les évènements qui viendront bouleverser son califat :
– Le retour de la crise
– L’opposition de Mou’âwiya Ibn Abî soufyân vis à vis de l’autorité du calife
– Le soulèvement de Châm contre le califat de ‘Ali.
– La bataille du chameau
– Le déplacement de la capitale politique à Koufa
– La guerre contre Mou’awiya
Tout cela débouchera sur l’assassinat de ‘Ali
‘Ali fut une figure importante de l’Islam tout comme les 3 précédents califes. Il occupait une place spéciale auprès du messager d’Allah
, sa science et ses connaissances étaient légendaires.
Sa capacité en matière de justice a fait que le calife ‘ Omar se référait à lui dans les affaires litigieuses et difficiles.
Le prophète
le nommait Aboû Tourâb, surnom qu’il affectionnait particulièrement et qui voulait dire « Père de la terre ». Il était réputé pour son éloquence, nous terminerons donc cette partie par une de ses paroles de sagesse tirée du livre :
«Le pire des frères est celui qui n’est pas naturel avec toi»
Qu’Allah soit satisfait d’eux, qu’Il nous permette de les aimer, d’aimer ceux qui les aiment et d’aimer ce qu’ils ont aimé.
————————————————-
Notre avis personnel :
Les – :
- Je n’en vois pas
Les + :
- Il est tout simplement super, facile à lire et pas compliqué. L’auteur n’oublie rien et va jusqu’à nous décrire les califes physiquement.
Ce livre vous intéresse, aidez-nous en l’achetant ICI chez Souk-ul-muslim :
Salam,
Rien ne pourra jamais étancher la soif d’apprendre et de lire sur les Compagnons et parmi eux, les 4 Califes Bien Guidés.
Chacun de leurs pas, chacune de leurs décisions, chacune de leurs paroles est enseignement et sagesse.
Oui, Allah et Son Messager ont su la valeur de ses hommes, ceux qui n’ont pas failli à leur mission de nous transmettre l’héritage du Prophète.
La question qui vient après est de savoir si nous, nous serions capable de transmettre à notre tour cet héritage.
Merci pour ce partage.
Salam A3leykom wa rahmatoullah. Alf barakAllah oufikom pour cet hommage faits aux héritiers du prophètes 3lih salat ou salam et qu’Allah vous illumine jusqu’au jour dernier par tous ceux qui liront cette chronique. Qu’Allah soit satisfait d’eux, qu’Il nous permette de les aimer, d’aimer ceux qui les aiment et d’aimer ce qu’ils ont aimé. Allahouma amine. Cette chronique m’a touché jusqu’au plus profond de mes tripes. J’ai honte de ne pas connaitre ceux par qui je suis musulmane aujourd’hui. Qu’Allah Ta’ala me pardonne et pardonne à toutes les personnes qui sont dans le même cas. Mais el hamdoullillah ou choukroullillah, Allah Ta’ala nous offre aujourd’hui la possibilité d’apprendre à les connaitre via autourdulivre, et je ne manquerais pas inchaallah cette occasion.
Salam alikoum,
Rien à ajouter de plus que ce qu’a dit notre soeur Hanifa. Je suis très émue… barakAllahoufikoum pour cette chronique très bien détaillée.
salam , bon choix de chronique, ça secoue le coeur!!!! barak Allah ofikom! qu ‘Allah réveil nos coeurs, et nous permettent d’aimer ces Bien Aimés! amine!!!
Assalau aleykum!
Allahumma salli ala Muhammed wa ala aalihi wa sahbihi wa ala Abu Bakr wa Umar wa Uthman wa Ali.
Ils sont la preuve palpable que l’Homme est capable de perfection ,ils en sont l’exemple et la limite.Nous n’avons pas d’alibi pour lésiner sur cette voie.La réussite sur les deux plans individuel et social est possible à n’importe quelle époque et dans n’importe quel lieu pour peu que la foi soit honnête et vivante et que la volonté soit inébranlable et soutenue.Leur interaction efficace sous l’Oeil d’Allah (swt) avec Sa baraka donneront les meilleurs résultats bi ithnillah.
Wa 3alaykoum assalam,
Cette chronique est d’une rare beauté et j’en suis vraiment troublée…Elle suscite en moi un sentiment d’admiration mêlée de crainte. J’ai honte également car je suis loin de connaître mes ancêtres spirituels, à qui je dois pourtant tant, loin de leur vouer un amour sincère…
Alhamdoulillah wa choukroulillah pour ce site « sorti de nulle part » qui se révèle être un merveilleux trésor caché, qu’Allah 3aza wajal lui assure sa pérennité, son épanouissement et sa renommée et en fasse un Instrument au service de Sa Cause <3.
Qu'Allah vous récompense comme il sied à la Majesté de Sa Noble Face, pour cet hommage majestueux. Mille mercis, de nous permettre à travers vous, de remercier tous ceux -qu'Allah soit satisfait d'eux – qui nous ont transmis ce grand bienfait qu'est la Religion d'Allah. Qu'Allah nous fasse profiter de leur baraka, et de leurs enseignements.
BarakaAllahou fiki Annissa pour ton idée, c'est un magnifique cadeau et je suis conquise ! Tu m'as convaincue, je vais me procurer ce livre inchaAllah !
Au plaisir de vous relire…
amine ya rabbi 3alamine.
C’est clair et net, il faut absolument que je lise ce bouquin InchaAllah ! Qu’Allah ta3ala nous fasse bénéficier de tous les enseignements et sagesses de cette lecture et qu’Il soubhanno nous permette de les intégrer, les mettre en pratique et les diffuser.
Amine.
Salam 3aleykoum
Barak Allahou fikoum ! Vous m’avez vraiment donné envie de lire ce livre <3
Assalam 3alaykoum,
Envie d’upper cette très belle chronique et particulièrement ce passage qui m’a beaucoup marquée…
« Avant d’appartenir à un groupe (du point de vue sociologique), je garde toujours en tête que, quelque soit celui que je choisirais, il est important de partager les mêmes valeurs parce que je vais aussi devoir les défendre.
On va devoir porter et représenter le message qu’il diffuse et qu’on le veuille ou non, ce groupe nous définira. Nous ne pouvons pas défendre une cause si nous n’y croyons pas à 100%, d’ailleurs je me dis souvent que même le 99% n’est pas suffisant quand il s’agit de porter sur ses épaules un message.
Comment défendrais-je une cause si mon cœur ne l’accepte pas dans sa totalité et si je ne suis convaincue qu’à moitié ? »
Merci encore une fois pour cette chronique super enrichissante & au plaisir de vous relire inchaAllah!
J’ai déjà lu un livre similaire il y a un quinzaine d’année. L’histoire est poignante, belle et parfois tragique. le ton est authentique avec des mots simples et si facilement abordable que c’est le livre qui m’a le plus touché. Je ne me souvient pas de l’éditeur mais au vu des commentaires je suis persuadé que je l’ai retrouvé après maintes recherches. je le conseil à tous, musulmans ou non, croyants ou non, pratiquant ou non. si vous aimé l’histoire, en voilà unu avec un grand H.